Shirley Marek s’intéresse aux relations entre les individus : comment ils s’approchent, se dévoilent, se cachent, s’aiment, se désirent, et se heurtent à leurs propres limites ou les dépassent, elle  choisit des pièces qui explorent  la complexité de l’âme humaine avec tout  son cortège de contradictions.

Ce théâtre, elle peut le souhaiter parfois spectaculaire, ou plus intime selon la vérité de l’instant vécu avec l’auteur de la pièce ; comme le monologue  de « Mme « Madame Marguerite » de Roberto Athayde qu’elle a joué une centaine de fois.
Ce théâtre de l’absurde est une métaphore de la tyrannie qui trouve sa source dans la vie intérieure de son  personnage, rendant  compte des mouvements intimes de l’être ; mouvements faits de rêves diurnes et nocturnes, de fantasmes et de pulsions.

 

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